Des arbres se penchent C'est plus fort, plus fort que tout Accrochée aux branches, l'air me semble encore trop doux Dans l'herbe écrasée, à compter mes regrets Allumette craquée et tout part en fumée Pendant que les champs brûlent (hou-hou-hou) J'attends que mes larmes viennent (hou-hou-hou) Et quand la plaine ondule (hou-hou-hou) Que jamais rien ne m'atteigne (ouh-ouh-ouh) (Ouh-ouh-ouh) Ce soir-là on s'est embrassés sans se parler Autour de nous, le monde aurait pu s'écrouler Les yeux cernés, des poussières dans les cheveux Au long de mes jambes, la caresse du feu Pendant que les champs brûlent (hou-hou-hou) J'attends que mes larmes viennent (hou-hou-hou) Et quand la plaine ondule (hou-hou-hou) Que jamais rien ne m'atteigne (ouh-ouh-ouh) (Ouh-ouh-ouh) (He he) (He-he) (He he) (He-he) (He he) (He-he) (He he) (He-he) Les yeux cernés, des poussières dans les cheveux Au long de mes jambes, la caresse du feu Pendant que les champs brûlent (hou-hou-hou) J'attends que mes larmes viennent (hou-hou-hou) Et quand la plaine ondule (hou-hou-hou) Que jamais rien ne m'atteigne (hou-hou-hou) Pendant que les champs brûlent (hou-hou-hou) J'attends que mes larmes viennent (hou-hou-hou) Et quand la plaine ondule (hou-hou-hou) Que jamais rien ne m'atteigne (hou-hou-hou) (Hou-hou-hou)